Ouvrir une franchise 231 East Street

Interview de Franck Rhiem, Co-dirigeant de 231 East Street

Présentation de l’enseigne

Je m’appelle Franck Rhiem et je suis un des dirigeants de l’enseigne 231 East Street. C’est une enseigne qui existe depuis 2011 et qui est une enseigne de gourmet burger, de burger Prémium. Le premier point de vente a ouvert en 2011. Actuellement, on est à 18 points de vente ouverts en France et on annonce cette année à peu près une dizaine d’ouvertures.

Quelles sont les conditions pour rentrer dans la franchise ?

Les conditions pour intégrer le réseau sont très standard. Vous avez fait un droit d’entrée de 25 000 euros, plus des frais de formation de 5 000 euros. On recherche prioritairement des ouvertures dans des villes de 100 000 habitants, sur des gros flux, des gros passages sur des points de vente ouverts à la fois le midi et le soir. On est frères ou sœurs, on va dire avec d’autres enseignes comme Flam’s.

Quel profil de candidat recherchez vous ?

Ce qui nous intéresse en priorité, c’est des gens qui ont plutôt la mentalité de commerçants et qui ont déjà géré des points de vente dans n’importe quel autre métier donc on il ne faut pas forcément avoir fait de la restauration. Il faut qu’il y ai un vrai contact humain, un sens du commerce, un sens du client et je crois que c’est aussi important d’avoir des qualités de manager, avec l’esprit de chef d’entreprise, puisque créer une entreprise, c’est une vraie aventure.

Comment formez vous vos franchisés ?

C’est une aventure dans laquelle on les accompagne le mieux possible. Soit avant l’ouverture pour la recherche du local, soit en pré ouverture pour les travaux, pour la formation et évidemment, dans le suivi au quotidien. Il est vrai qu’il faut aussi des vrais patrons d’entreprise. On est sur un marché finalement qui se développe beaucoup en France depuis deux ou trois ans et sur lequel, on va chercher des consommateurs qui cherchent un burger un peu différent de ce qu’ils peuvent trouver dans des grandes enseignes classiques.

Sur ce marché, il y a aujourd’hui un gros potentiel parce qu’on sait qu’en France il y a de plus en plus de gens qui mangent des burgers. Actuellement, les dernières études démontrent que par rapport à 10 années en arrière, il y avait un burger pour dix sandwichs achetés. Aujourd’hui, on est un burger pour deux sandwichs achetés. On est en train de se rapprocher de l’équilibre, ce qui veut bien dire que le marché est encore en pleine croissance.

Je dirais aussi qu’on a des coûts matières qui sont maîtrisés, des frais personnels qui sont maîtrisés. Maintenant, tout cela est dû également au talent de la personne qui va tenir le point de vente.

Quelles sont les valeurs de 231 East Street ?

Une des premières valeurs importantes, c’est la générosité qui est aujourd’hui extrêmement importante vis à vis du client. C’est l’honnêteté sur l’origine du produit et la manière dont on fait les produits. Je crois que c’est une autre valeur importante. La convivialité aussi, car le déjeuner est un moment de partage et un moment de respiration.

Et la valeur, c’est aussi un peu l’ambiance de nos points de vente. Je veux dire, puisqu’on est dans un style Pop Art. Ce qui rappelle d’ailleurs très bien les ateliers d’Andy Warhol à New York. On est très ouvert, ce qui est très important, c’est qu’en ce moment, on est en train de recevoir des candidats. La première chose qu’on fait, on leur dit écoutez, aller dans nos points de vente, allez voir les autres franchisés, allez voir avec eux discuter avec eux, voyez les résultats qu’ils font, voyez comment ils sont implantés, quelle est l’aide qu’on leur a apportée exactement. Vous verrez qu’on est un réseau à la fois solide et pérenne.