Ouvrir une franchise Captain Oliver

Les concessionnaires Captain Oliver sont très satisfaits de leur autonomie au sein de leur réseau, en effet ils attribuent l’exceptionnelle note de 4,3 sur 5 à la question sur leur liberté d’action.

Une des originalités des résultats de cet audit tient à l’extrême disparité de certaines réponses, visiblement tous les concessionnaires n´ont pas le même avis et les opinions de certains semblent très tranchées. Une nouvelle preuve qu´il ne suffit pas d´écouter un seul son de cloche pour se faire une opinion…

Interview de David Limousin, Directeur de Captain Oliver

Présentation de l’enseigne

Je suis David Limousin. Je suis responsable de l’enseigne Captain Oliver qui aujourd’hui est présente nationalement avec une douzaine de magasins. Aujourd’hui, c’est une concession d’enseigne où on regroupe du meuble et de la décoration. Les meubles sont mis en ambiance sur des surfaces de 500 à 800 mètres carrés et c’est un système de concessions, c’est à dire que la centrale met des produits à disposition des objets de pub et l’adhérent vient choisir les produits qui l’intéressent.

Quels sont les objectifs pour 2016 ?

Les objectifs pour 2016, c’est entre deux et trois ouvertures.

Quelles sont les conditions pour rentrer en franchise ?

Aujourd’hui, les conditions sont très simples. C’est un apport de 100 000 euros. Le budget global d’un Captain Oliver aujourd’hui, c’est 250 000 euros stock compté.

La preuve aujourd’hui qu’on peut apporter au magasin, c’est que nos magasins sont là depuis 8 ou 9 en 10 ans, et n’ont pas beaucoup bougé. On a traversé aussi la période de crise également. Pour nous, c’est aussi la meilleure preuve sur le marché puisqu’on n’est pas les derniers, mais presque. On a également fait une enquête auprès de l’indicateur de la franchise pour justement avoir cette transparence globale sur tout le réseau.
Aujourd’hui, vis à vis de nos partenaires, c’est vraiment un travail de partenariat aussi bien sur le produit, sur les échanges que l’on peut avoir pour pouvoir développer justement les magasins. Nous sommes ouverts à toute ouverture sur la France. Nous développons plutôt en France aujourd’hui. L’étranger sera certainement pour plus tard. Mais concentrons nous sur la France parce que beaucoup de moyennes villes ont un besoin important et de nos jours, avec le retour à la proximité, c’est important.